I am a self taught artist who loves to dabble in art using acrylic paint and resin. The artworks are mainly abstract in style and strongly resemble seascapes. The shapes are not restricted to rectangles or squares only, often painted on circle surfaces as well.

 I am a self taught artist who loves to dabble in art using acrylic paint and resin. The artworks are mainly abstract in style and strongly resemble seascapes. The shapes are not restricted to rectangles or squares only, often painted on circle surfaces as well.

GEORGIA - L’immortalisation de la phase liquide 
.
« L’eau n’est pas nécessaire à la vie, l’eau est la vie » Saint-Exupéry

L’eau comme source de vie prend tout son sens visuel dans le travail de Georgia (Giga_Arts), qui nous ramène à l’essence même de ce qui nous compose, à un niveau autant psychologique que biologique.

Au premier regard, ses ressemblent à des fenêtres par lesquelles on peut plonger dans au fin fond de l’océan d’une deuxième planète bleue, où la pureté de l’eau n’a jamais été corrompue par l’activité humaine, où l’on peut goûter l’oxygène au bout de sa langue.

En nous approchant, le cristallin de nos yeux s’ajuste pour découvrir des sillons et des textures nous faisant retracer la genèse des détails microscopiques de l’aile d’un papillon à la forme macroscopique d’une plage dessinée au gré des vagues .

Est-ce de la magie? C’est plutôt de la chimie entre l’acrylique et la résine, mélangée à du talent pur et beaucoup de patience. Le tout, un spectacle époustouflant, une histoire qui se déploie au ralentit, qui vit et qui respire, devant un visuel pourtant immobile.

 GEORGIA - L’immortalisation de la phase liquide 
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« L’eau n’est pas nécessaire à la vie, l’eau est la vie » Saint-Exupéry

L’eau comme source de vie prend tout son sens visuel dans le travail de Georgia (Giga_Arts), qui nous ramène à l’essence même de ce qui nous compose, à un niveau autant psychologique que biologique.

Au premier regard, ses ressemblent à des fenêtres par lesquelles on peut plonger dans au fin fond de l’océan d’une deuxième planète bleue, où la pureté de l’eau n’a jamais été corrompue par l’activité humaine, où l’on peut goûter l’oxygène au bout de sa langue.

En nous approchant, le cristallin de nos yeux s’ajuste pour découvrir des sillons et des textures nous faisant retracer la genèse des détails microscopiques de l’aile d’un papillon à la forme macroscopique d’une plage dessinée au gré des vagues .

Est-ce de la magie? C’est plutôt de la chimie entre l’acrylique et la résine, mélangée à du talent pur et beaucoup de patience. Le tout, un spectacle époustouflant, une histoire qui se déploie au ralentit, qui vit et qui respire, devant un visuel pourtant immobile.