Lou Mayiel voit le jour dans le sud de la France, un après-midi d’été au sein d’une grande fratrie. Le temps que sa mère ne passe pas à s’occuper de ses sept enfants, elle le consacre à donner vie à ses sculptures et à ses peintures.

Lou passe des heures à admirer les œuvres de sa maman : ces paysages provençaux éclaboussés par les rayons du soleil, jouant çà et là, avec les creux de la terre cuite sur laquelle ils sont peints. Elle a ça en elle aussi, elle le sent.

Après des études littéraires, Lou choisit un métier qui lui permet d’exprimer sa créativité tout en gagnant son pain et se forme en tant que pâtissière.

Parallèlement, une première opportunité se présente à elle : l’association artistique Free Spirit lui propose de peindre en direct pour une chaîne internet. Un premier grand pas pour sa carrière !

Mais sa plus grande satisfaction, elle l’éprouve à coller ses œuvres d’art dans la rue : l’art pour l’art, véritablement libre, qui brave les interdits sans attente de reconnaissance aucune. Une idée lui vient alors et la transporte : si son art devait avoir une substance, ce sera le message qu’il véhicule, elle tire donc le portrait des célébrités qui l’inspirent dans ce monde afin de se faire passeur de leurs messages de paix, d’amour et de conscience. Le mouvement #inspiralyon voit le jour.

Ses proches l’encouragent et de belles rencontres jalonnent son parcours notamment avec son ami Gédéon Sillac, artiste talentueux qui lui permet de garder un pied dans le monde de l’art et lui présente deux jeunes femmes souhaitant aider de jeunes artistes françaises. Une collaboration colorée voit alors le jour, les idées fusent et elles mettent ensemble en place la première chasse au trésor « street art » lyonnaise. L’information sera relayée par le journal Le Progrès. Les opportunités s’enchaînent et Lou est invitée à réaliser un live painting lors d’un salon de créateurs.

Mais une quête identitaire se fait alors sentir : Elle a besoin d’un sens à donner à son art et à son existence. Elle décide de quitter travail et logement, donne tous ses biens matériels et enfourche son vélo en quête de liberté, elle enchaîne les km et les rencontres, à la poursuite d’elle-même. Ce périple initiatique a permis à l’artiste de se nourrir intérieurement pour affirmer sa volonté ; vivre pour l’art et les messages qu’il véhicule.

Quelques temps après, elle décide de créer un style unique qui mêle toutes les techniques qu’elle affectionne (: pochoirs, peinture à l’aquarelle , travail du cercle ) et fait le pont entre le monde du street art et celui de l’aquarelle qui sont chers à son cœur.

Son crédo à présent : « Changeons d’angle de vue un moment.. »

Lou Mayiel voit le jour dans le sud de la France, un après-midi d’été au sein d’une grande fratrie. Le temps que sa mère ne passe pas à s’occuper de ses sept enfants, elle le consacre à donner vie à ses sculptures et à ses peintures.

Lou passe des heures à admirer les œuvres de sa maman : ces paysages provençaux éclaboussés par les rayons du soleil, jouant çà et là, avec les creux de la terre cuite sur laquelle ils sont peints. Elle a ça en elle aussi, elle le sent.

Après des études littéraires, Lou choisit un métier qui lui permet d’exprimer sa créativité tout en gagnant son pain et se forme en tant que pâtissière.

Parallèlement, une première opportunité se présente à elle : l’association artistique Free Spirit lui propose de peindre en direct pour une chaîne internet. Un premier grand pas pour sa carrière !

Mais sa plus grande satisfaction, elle l’éprouve à coller ses œuvres d’art dans la rue : l’art pour l’art, véritablement libre, qui brave les interdits sans attente de reconnaissance aucune. Une idée lui vient alors et la transporte : si son art devait avoir une substance, ce sera le message qu’il véhicule, elle tire donc le portrait des célébrités qui l’inspirent dans ce monde afin de se faire passeur de leurs messages de paix, d’amour et de conscience. Le mouvement #inspiralyon voit le jour.

Ses proches l’encouragent et de belles rencontres jalonnent son parcours notamment avec son ami Gédéon Sillac, artiste talentueux qui lui permet de garder un pied dans le monde de l’art et lui présente deux jeunes femmes souhaitant aider de jeunes artistes françaises. Une collaboration colorée voit alors le jour, les idées fusent et elles mettent ensemble en place la première chasse au trésor « street art » lyonnaise. L’information sera relayée par le journal Le Progrès. Les opportunités s’enchaînent et Lou est invitée à réaliser un live painting lors d’un salon de créateurs.

Mais une quête identitaire se fait alors sentir : Elle a besoin d’un sens à donner à son art et à son existence. Elle décide de quitter travail et logement, donne tous ses biens matériels et enfourche son vélo en quête de liberté, elle enchaîne les km et les rencontres, à la poursuite d’elle-même. Ce périple initiatique a permis à l’artiste de se nourrir intérieurement pour affirmer sa volonté ; vivre pour l’art et les messages qu’il véhicule.

Quelques temps après, elle décide de créer un style unique qui mêle toutes les techniques qu’elle affectionne (: pochoirs, peinture à l’aquarelle , travail du cercle ) et fait le pont entre le monde du street art et celui de l’aquarelle qui sont chers à son cœur.

Son crédo à présent : « Changeons d’angle de vue un moment.. »

Ma démarche se trouve dans une volonté de trouver des façons différentes de travailler des outils et techniques artistiques connus. Je rassemble ici toutes les autres techniques que j’ai utilisées jusque-là au cours de mon évolution artistique.

J’aime aussi voir dans mon travail, la beauté de la création par la destruction. C’est le message que je cherche à faire passer. Changeons de point de vue un instant. Les choses que nous observons ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être. Je vous invite à avoir un œil nouveau sur le monde qui nous entoure. La polarité présente en tout fait qu’une chose n’existe pas sans son contraire. C’est là le jeu du contraste auquel j’aime jouer dans mon travail.

Ce contraste justement qui, entre les bordures brulées de tous les points composant l’image et le fond peint à l’aquarelle rajouté derrière, est créé dans le but de donner du relief. Et donc de la profondeur à l’œuvre. Celle-ci, rehaussée par un cadre qui rappelle le fond présent derrière ces petites fenêtres rondes. Le papier Canson utilisé transcende sa dimension 2D.

On peut aussi s’amuser à imaginer d’autres formes apparaissant au milieu de tous ces trous ; comme si on lisait dans les nuages.

Inspirée de la technique « stencil » utilisée en street art, je souhaite travailler différemment mon pochoir et l’utiliser comme élément central de ma pièce. Il n’est plus un support mais bien l’œuvre. On joue avec les concepts et on les retourne.

La façon d’appliquer l’aquarelle sur le fond, en forme de gouttes d’eau qui se superposent, vient directement de ma façon de faire du street art auparavant. Je collais des impressions de portraits « rendu pochoirs » constitués de toutes ces gouttes d’aquarelle. Le cercle est très présent dans mes anciens travaux car il m’inspire la globalité, le tout . J’aime le décliner dans tous ses états.

Ma démarche se trouve dans une volonté de trouver des façons différentes de travailler des outils et techniques artistiques connus. Je rassemble ici toutes les autres techniques que j’ai utilisées jusque-là au cours de mon évolution artistique.

J’aime aussi voir dans mon travail, la beauté de la création par la destruction. C’est le message que je cherche à faire passer. Changeons de point de vue un instant. Les choses que nous observons ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être. Je vous invite à avoir un œil nouveau sur le monde qui nous entoure. La polarité présente en tout fait qu’une chose n’existe pas sans son contraire. C’est là le jeu du contraste auquel j’aime jouer dans mon travail.

Ce contraste justement qui, entre les bordures brulées de tous les points composant l’image et le fond peint à l’aquarelle rajouté derrière, est créé dans le but de donner du relief. Et donc de la profondeur à l’œuvre. Celle-ci, rehaussée par un cadre qui rappelle le fond présent derrière ces petites fenêtres rondes. Le papier Canson utilisé transcende sa dimension 2D.

On peut aussi s’amuser à imaginer d’autres formes apparaissant au milieu de tous ces trous ; comme si on lisait dans les nuages.

Inspirée de la technique « stencil » utilisée en street art, je souhaite travailler différemment mon pochoir et l’utiliser comme élément central de ma pièce. Il n’est plus un support mais bien l’œuvre. On joue avec les concepts et on les retourne.

La façon d’appliquer l’aquarelle sur le fond, en forme de gouttes d’eau qui se superposent, vient directement de ma façon de faire du street art auparavant. Je collais des impressions de portraits « rendu pochoirs » constitués de toutes ces gouttes d’aquarelle. Le cercle est très présent dans mes anciens travaux car il m’inspire la globalité, le tout . J’aime le décliner dans tous ses états.