Né à Lauzon en 1969, Marc Turgeon, ingénieur et passionné de science, a toujours été attiré par les arts et le voyage. Il n’avait pas d’intérêt pour la peinture, du moins c’est ce qu’il croyait avant le jour « J ».
Un jour, un collègue de travail lui donne des billets pour aller voir avec sa famille l’exposition des Plasticiens au Musée des Beaux-Arts du Québec. Il a pris les billets en se disant qu’il ferait plaisir à la famille. Finalement, coup de foudre ! Une nouvelle passion venait de naître en lui. 
Quelques jours suivant l’exposition, il a fait une première peinture qu’il a terminée quelques années plus tard. Il est par la suite retourné au Musée et à chaque fois, il lui fallait quelques jours pour s’en remettre.
Il a vu par la suite l’exposition Mitchell-Riopelle et là, le désir de créer est devenu très intense. Autodidacte, il s’est mis à l’acrylique. Une toile n’attendait pas l’autre, à la recherche d’un style peut-être, mais surtout, à la rencontre de peindre. Un peu plus tard, il est passé à l’huile.
Les tableaux de Marc Turgeon s’imposent par la densité et le mélange des textures créées à l’aide de la spatule. Il s’intéresse à différents sujets notamment les visages, les corps, les textures, la géométrie et le rapport de l’équilibre et du mouvement.

 Né à Lauzon en 1969, Marc Turgeon, ingénieur et passionné de science, a toujours été attiré par les arts et le voyage. Il n’avait pas d’intérêt pour la peinture, du moins c’est ce qu’il croyait avant le jour « J ».
Un jour, un collègue de travail lui donne des billets pour aller voir avec sa famille l’exposition des Plasticiens au Musée des Beaux-Arts du Québec. Il a pris les billets en se disant qu’il ferait plaisir à la famille. Finalement, coup de foudre ! Une nouvelle passion venait de naître en lui. 
Quelques jours suivant l’exposition, il a fait une première peinture qu’il a terminée quelques années plus tard. Il est par la suite retourné au Musée et à chaque fois, il lui fallait quelques jours pour s’en remettre.
Il a vu par la suite l’exposition Mitchell-Riopelle et là, le désir de créer est devenu très intense. Autodidacte, il s’est mis à l’acrylique. Une toile n’attendait pas l’autre, à la recherche d’un style peut-être, mais surtout, à la rencontre de peindre. Un peu plus tard, il est passé à l’huile.
Les tableaux de Marc Turgeon s’imposent par la densité et le mélange des textures créées à l’aide de la spatule. Il s’intéresse à différents sujets notamment les visages, les corps, les textures, la géométrie et le rapport de l’équilibre et du mouvement.

Certes Marc Turgeon s’intéresse à la création spontanée laissant naturellement libre cours à son imagination et à l’expression. Toutefois, deux thèmes reviennent souvent dans sa démarche artistique : le thème de la figuration dissimulée par l’abstraction et le thème de l’émergence de l’ordre dans le chaos. Ceci suscite la curiosité et à l’imaginaire de l’observateur qui tente de découvrir la figuration, ou simplement, se laisse bercer devant une pure abstraction.  

En d’autres termes, l’artiste cherche par sa démarche à prolonger le temps où l’observateur intrigué se balance entre sa recherche de la figuration et l’envie de plonger sans comprendre. Pour ce qui est de l’ordre dans le chaos, l’intérêt est venu en regardant des paysages d’automne, où l’harmonie émerge du plus pur chaos. Quand l’eau coule du robinet à faible débit, on voit un doux filet d’eau translucide, à mesure que le débit augmente, le chaos s’installe, toutefois, à fort débit, c’est comme si l’ordre revenait, fascinant. 

 

En résumé, la démarche de Marc Turgeon est basée sur le jeu entre l’abstraction et la figuration, de même que le jeu entre le désordre et l’ordre dans le chaos, le tout, pour faire émerger l’émotion et la curiosité.

Enfin, si on lui demande d’expliquer les motivations de son parcours artistique, il vous répondra simplement : « Peindre me fait du bien et j’espère que mes toiles pourront aussi faire du bien aux autres ». 

Certes Marc Turgeon s’intéresse à la création spontanée laissant naturellement libre cours à son imagination et à l’expression. Toutefois, deux thèmes reviennent souvent dans sa démarche artistique : le thème de la figuration dissimulée par l’abstraction et le thème de l’émergence de l’ordre dans le chaos. Ceci suscite la curiosité et à l’imaginaire de l’observateur qui tente de découvrir la figuration, ou simplement, se laisse bercer devant une pure abstraction.  

En d’autres termes, l’artiste cherche par sa démarche à prolonger le temps où l’observateur intrigué se balance entre sa recherche de la figuration et l’envie de plonger sans comprendre. Pour ce qui est de l’ordre dans le chaos, l’intérêt est venu en regardant des paysages d’automne, où l’harmonie émerge du plus pur chaos. Quand l’eau coule du robinet à faible débit, on voit un doux filet d’eau translucide, à mesure que le débit augmente, le chaos s’installe, toutefois, à fort débit, c’est comme si l’ordre revenait, fascinant. 

 

En résumé, la démarche de Marc Turgeon est basée sur le jeu entre l’abstraction et la figuration, de même que le jeu entre le désordre et l’ordre dans le chaos, le tout, pour faire émerger l’émotion et la curiosité.

Enfin, si on lui demande d’expliquer les motivations de son parcours artistique, il vous répondra simplement : « Peindre me fait du bien et j’espère que mes toiles pourront aussi faire du bien aux autres ».