Au commencement
C’est à l’adolescence que je fais mes premières armes en photographie. Après avoir acheté mon premier appareil photo, fouillant dans les livres et les revues spécialisées, j’apprends autant les rudiments techniques d’un appareil que l’art de la composition.
Chemins exploratoires
Dans le même élan, les films visionnés chaque semaine au cinéma et dans le ciné-club du coin sont une bonne école pour me familiariser avec la direction photo. Puis, un fait marquant vient enrichir mes notions photographiques. En 2005, lors d’une formation en montage vidéo à l’École de cinéma et télévision de Québec (ECTQ), Gabriel Rochette, un professeur passionné me transmet un savoir inestimable sur le rôle de la lumière en composition picturale. Son conseil le plus judicieux et que j’applique toujours, est de parcourir les salles de musée afin d’observer et d’étudier comment les peintres ont travaillé la lumière et les valeurs tonales.
Outre ces multiples apprentissages, des centaines de ballades en forêt imprègnent mon être de telle sorte que l’influence de la nature est indéniable dans ma démarche artistique. Ce long chemin évolutif à contempler la nature se cristallise en ce moment magique, véritable révélation, où mon œil capte un étang tout à fait banal sous un angle complètement inattendu.
Une signature
Trois automnes d’observation d’étangs et des milliers de photos plus tard, auront défini une signature unique. Alors que la nature se dénude, je la rhabille de ses feuilles et lui redonne un nouvel éclat en la photographiant à travers des effets miroir aquatiques. Ainsi se révèlent trois réalités entremêlées par le biais de l’eau : le paysage qui y est reflété, les feuilles gisant sous l’eau et celles y flottant. Le rendu photographique de cette composition aux multiples facettes offerte par la nature intrigue et fascine de dire le spectateur. Il en résulte un effet trompe-l’œil effet peinture.

Ce travail artistique aura donné naissance à un thème que j’ai appelé La cinquième saison.

Fait à noter
Mise à part quelques retouches (exemple : rehaussement des couleurs et contraste), aucun trucage, collage ou superposition de style Photoshop sont utilisés dans mes créations. C’est le jeu naturel de la transparence du fond des étangs qui donne ce mariage avec ce qui est projeté en surface. Donc ce que l’on voit est ce que j’ai capté avec mon appareil photo.

Au commencement
C’est à l’adolescence que je fais mes premières armes en photographie. Après avoir acheté mon premier appareil photo, fouillant dans les livres et les revues spécialisées, j’apprends autant les rudiments techniques d’un appareil que l’art de la composition.
Chemins exploratoires
Dans le même élan, les films visionnés chaque semaine au cinéma et dans le ciné-club du coin sont une bonne école pour me familiariser avec la direction photo. Puis, un fait marquant vient enrichir mes notions photographiques. En 2005, lors d’une formation en montage vidéo à l’École de cinéma et télévision de Québec (ECTQ), Gabriel Rochette, un professeur passionné me transmet un savoir inestimable sur le rôle de la lumière en composition picturale. Son conseil le plus judicieux et que j’applique toujours, est de parcourir les salles de musée afin d’observer et d’étudier comment les peintres ont travaillé la lumière et les valeurs tonales.
Outre ces multiples apprentissages, des centaines de ballades en forêt imprègnent mon être de telle sorte que l’influence de la nature est indéniable dans ma démarche artistique. Ce long chemin évolutif à contempler la nature se cristallise en ce moment magique, véritable révélation, où mon œil capte un étang tout à fait banal sous un angle complètement inattendu.
Une signature
Trois automnes d’observation d’étangs et des milliers de photos plus tard, auront défini une signature unique. Alors que la nature se dénude, je la rhabille de ses feuilles et lui redonne un nouvel éclat en la photographiant à travers des effets miroir aquatiques. Ainsi se révèlent trois réalités entremêlées par le biais de l’eau : le paysage qui y est reflété, les feuilles gisant sous l’eau et celles y flottant. Le rendu photographique de cette composition aux multiples facettes offerte par la nature intrigue et fascine de dire le spectateur. Il en résulte un effet trompe-l’œil effet peinture.

Ce travail artistique aura donné naissance à un thème que j’ai appelé La cinquième saison.

Fait à noter
Mise à part quelques retouches (exemple : rehaussement des couleurs et contraste), aucun trucage, collage ou superposition de style Photoshop sont utilisés dans mes créations. C’est le jeu naturel de la transparence du fond des étangs qui donne ce mariage avec ce qui est projeté en surface. Donc ce que l’on voit est ce que j’ai capté avec mon appareil photo.

Une signature
Trois automnes d’observation d’étangs et des milliers de photos plus tard, auront défini une signature unique. Alors que la nature se dénude, je la rhabille de ses feuilles et lui redonne un nouvel éclat en la photographiant à travers des effets miroir aquatiques. Ainsi se révèlent trois réalités entremêlées par le biais de l’eau : le paysage qui y est reflété, les feuilles gisant sous l’eau et celles y flottant. Le rendu photographique de cette composition aux multiples facettes offerte par la nature intrigue et fascine de dire le spectateur. Il en résulte un effet trompe-l’œil effet peinture.

Ce travail artistique aura donné naissance à un thème que j’ai appelé La cinquième saison.

Fait à noter
Mise à part quelques retouches (exemple : rehaussement des couleurs et contraste), aucun trucage, collage ou superposition de style Photoshop sont utilisés dans mes créations. C’est le jeu naturel de la transparence du fond des étangs qui donne ce mariage avec ce qui est projeté en surface. Donc ce que l’on voit est ce que j’ai capté avec mon appareil photo.

Une signature
Trois automnes d’observation d’étangs et des milliers de photos plus tard, auront défini une signature unique. Alors que la nature se dénude, je la rhabille de ses feuilles et lui redonne un nouvel éclat en la photographiant à travers des effets miroir aquatiques. Ainsi se révèlent trois réalités entremêlées par le biais de l’eau : le paysage qui y est reflété, les feuilles gisant sous l’eau et celles y flottant. Le rendu photographique de cette composition aux multiples facettes offerte par la nature intrigue et fascine de dire le spectateur. Il en résulte un effet trompe-l’œil effet peinture.

Ce travail artistique aura donné naissance à un thème que j’ai appelé La cinquième saison.

Fait à noter
Mise à part quelques retouches (exemple : rehaussement des couleurs et contraste), aucun trucage, collage ou superposition de style Photoshop sont utilisés dans mes créations. C’est le jeu naturel de la transparence du fond des étangs qui donne ce mariage avec ce qui est projeté en surface. Donc ce que l’on voit est ce que j’ai capté avec mon appareil photo.