Ni d’Ève, ni d’Adam mêle une dure réalité et un monde imaginaire décalé. C’est un univers complexe, minutieux et ludique. Il met en scène la construction perpétuelle aboutissant à l’écroulement d’un monde tout entier. Sans jamais vouloir dénoncer activement ou utiliser un ton moralisateur, nous souhaitons émettre des hypothèses, faire émerger des questions et poser un regard sur une situation qui nous préoccupe.

Premier jet d’une série de tableaux, notre pièce met en scène un état des lieux de la situation environnementale. Une fois ces tableaux rassemblés, nous aimerions avoir offert un bilan de la crise climatique et de la surconsommation. Un penseur a écrit que pour encourager un changement, il fallait décoloniser l’imaginaire et ensuite offrir une autre vision possible. Nous comptons bien le réaliser. Il est bien certaine-ment nécessaire de se confronter à la réalité, mais il peut être tout aussi pertinent de rêver. Cette société alternative dont nous rêvons pourra peut-être motiver le change-ment et l’engagement personnel de chacun. Sachant que le pessimisme n’est pas la meilleure façon d’aborder la crise climatique, nous choisissons un ton ludique, mais engagé.

Ce projet est né d’un besoin d’agir à petite échelle. La pièce représente une synthèse de plusieurs dizaines d’heures de réflexion entre nous. Toutes ces discussions, ces recherches documentaires et ces remises en questions quotidiennes colorent les horizons de notre création. Notre société se renvoie la balle sans cesse à savoir qui est responsable de la pollution. La solution doit-elle venir des entreprises ou du citoyen ? Pourtant, tout ce temps passé à chercher un coupable nous éloigne des solutions. La situation est généralement conscientisée et plusieurs options s’offrent à nous. Nos so-ciétés doivent se motiver à risquer et changer.

Au fil du temps, notre projet nous a menés à creuser et découvrir de nouvelles questions. Ainsi, le capitalisme, la surconsommation, l’avidité, l’insatiabilité, la crise climatique et bien d’autres thèmes s’y entremêlent. Comment en sommes-nous arri-vés là ? Pourquoi sommes-nous plus consommateurs que citoyens ? Nous n’avons pas la prétention de répondre à ces questions, mais nous les poserons sans cesse pour qu’émerge enfin de belles opportunités.

Ni d’Ève, ni d’Adam mêle une dure réalité et un monde imaginaire décalé. C’est un univers complexe, minutieux et ludique. Il met en scène la construction perpétuelle aboutissant à l’écroulement d’un monde tout entier. Sans jamais vouloir dénoncer activement ou utiliser un ton moralisateur, nous souhaitons émettre des hypothèses, faire émerger des questions et poser un regard sur une situation qui nous préoccupe.

Premier jet d’une série de tableaux, notre pièce met en scène un état des lieux de la situation environnementale. Une fois ces tableaux rassemblés, nous aimerions avoir offert un bilan de la crise climatique et de la surconsommation. Un penseur a écrit que pour encourager un changement, il fallait décoloniser l’imaginaire et ensuite offrir une autre vision possible. Nous comptons bien le réaliser. Il est bien certaine-ment nécessaire de se confronter à la réalité, mais il peut être tout aussi pertinent de rêver. Cette société alternative dont nous rêvons pourra peut-être motiver le change-ment et l’engagement personnel de chacun. Sachant que le pessimisme n’est pas la meilleure façon d’aborder la crise climatique, nous choisissons un ton ludique, mais engagé.

Ce projet est né d’un besoin d’agir à petite échelle. La pièce représente une synthèse de plusieurs dizaines d’heures de réflexion entre nous. Toutes ces discussions, ces recherches documentaires et ces remises en questions quotidiennes colorent les horizons de notre création. Notre société se renvoie la balle sans cesse à savoir qui est responsable de la pollution. La solution doit-elle venir des entreprises ou du citoyen ? Pourtant, tout ce temps passé à chercher un coupable nous éloigne des solutions. La situation est généralement conscientisée et plusieurs options s’offrent à nous. Nos so-ciétés doivent se motiver à risquer et changer.

Au fil du temps, notre projet nous a menés à creuser et découvrir de nouvelles questions. Ainsi, le capitalisme, la surconsommation, l’avidité, l’insatiabilité, la crise climatique et bien d’autres thèmes s’y entremêlent. Comment en sommes-nous arri-vés là ? Pourquoi sommes-nous plus consommateurs que citoyens ? Nous n’avons pas la prétention de répondre à ces questions, mais nous les poserons sans cesse pour qu’émerge enfin de belles opportunités.