Originaire de Québec, je me passionne pour la peinture et le dessin depuis de nombreuses années.

J'aime mélanger une approche traditionnelle de la peinture à l'huile avec un style plus spontané, influencé par le graffiti.

Originaire de Québec, je me passionne pour la peinture et le dessin depuis de nombreuses années.

J'aime mélanger une approche traditionnelle de la peinture à l'huile avec un style plus spontané, influencé par le graffiti.

Mon principal médium est la peinture à l'huile, mais je ne peux m’empêcher d’explorer différentes matières et différentes manières de peindre. L’intérêt pour la peinture s'est d'abord exprimé chez moi par le graffiti, dont j'ai conservé l'énergie, le trait vigoureux et le goût pour la couleur. Avec la maturité, ma peinture s'est assagie et mes connaissances sur mon médium et son histoire se sont développées, me permettant ainsi de m'approprier les codes de la peinture plus classique et moderne.

 

Je peins rapidement et avec énergie, j’apprécie beaucoup l’aspect non-fini d’une peinture. Garder l’image ouverte à d’autres possibilités me donne la chance d’y revenir plus tard, de changer d’avis. Je passe souvent d’un tableau à l’autre de manière saccadée, spontanée. Je travaille parfois obstinément sur un tableau pour l’abandonner et n’y revenir que des mois plus tard. Je réinterviens à plusieurs reprises sur une toile pour l’altérer et pour créer une sédimentation qui enrichisse l’image. Je peins parfois une image par-dessus une autre déjà existante, en laissant transparaitre la première et pour tenter d’en tirer profit. J’ai développé ce réflexe dans ma pratique du graffiti. Souvent contraint de peindre un mur déjà saturé de couleurs et de formes, j’ai fini par m’habituer à composer à partir de celles-ci.

J'affectionne particulièrement les sujets traditionnels de la peinture, tels que la nature morte, le paysage, le portrait et j’aime les faire entrer en contradiction avec un monde contemporain artificiel et cynique. Je fais souvent référence au passé, qu’il agisse de mon expérience personnelle ou d’une expérience commune, d’une conscience collective. J’aime faire se côtoyer le sacré et le profane, le naturel et l’artificiel. J’essaie de montrer l’usure du temps, l’altération de l’architecture, la désuétude, la perte de repères, la mémoire devenue parcellaire...

 

Toutefois ma peinture, si elle est nostalgique, n’est pas pessimiste. Elle s’appuie sur le passé, mais est empreinte d’un idéal romantique. J’aime à penser que je m’inscris dans une forme de transcendance, dépositaire d’un héritage que j’essaie de faire vivre et de transmettre.

Mon principal médium est la peinture à l'huile, mais je ne peux m’empêcher d’explorer différentes matières et différentes manières de peindre. L’intérêt pour la peinture s'est d'abord exprimé chez moi par le graffiti, dont j'ai conservé l'énergie, le trait vigoureux et le goût pour la couleur. Avec la maturité, ma peinture s'est assagie et mes connaissances sur mon médium et son histoire se sont développées, me permettant ainsi de m'approprier les codes de la peinture plus classique et moderne.

 

Je peins rapidement et avec énergie, j’apprécie beaucoup l’aspect non-fini d’une peinture. Garder l’image ouverte à d’autres possibilités me donne la chance d’y revenir plus tard, de changer d’avis. Je passe souvent d’un tableau à l’autre de manière saccadée, spontanée. Je travaille parfois obstinément sur un tableau pour l’abandonner et n’y revenir que des mois plus tard. Je réinterviens à plusieurs reprises sur une toile pour l’altérer et pour créer une sédimentation qui enrichisse l’image. Je peins parfois une image par-dessus une autre déjà existante, en laissant transparaitre la première et pour tenter d’en tirer profit. J’ai développé ce réflexe dans ma pratique du graffiti. Souvent contraint de peindre un mur déjà saturé de couleurs et de formes, j’ai fini par m’habituer à composer à partir de celles-ci.

J'affectionne particulièrement les sujets traditionnels de la peinture, tels que la nature morte, le paysage, le portrait et j’aime les faire entrer en contradiction avec un monde contemporain artificiel et cynique. Je fais souvent référence au passé, qu’il agisse de mon expérience personnelle ou d’une expérience commune, d’une conscience collective. J’aime faire se côtoyer le sacré et le profane, le naturel et l’artificiel. J’essaie de montrer l’usure du temps, l’altération de l’architecture, la désuétude, la perte de repères, la mémoire devenue parcellaire...

 

Toutefois ma peinture, si elle est nostalgique, n’est pas pessimiste. Elle s’appuie sur le passé, mais est empreinte d’un idéal romantique. J’aime à penser que je m’inscris dans une forme de transcendance, dépositaire d’un héritage que j’essaie de faire vivre et de transmettre.