Né à Saint-Hubert sur la rive-sud de Montréal, Alex a toujours été attiré par les arts. Dès son plus jeune âge, il utilise le dessin comme moyen d’expression principal et rapidement, la passion s’installe. Il commence à apprivoiser la peinture vers l’âge de 16 ans et prend de l’assurance en se pratiquant à repeindre les planches à roulettes de ses amis. Il complète ses études au cégep Édouard-Montpetit dans le programme Arts visuels et médiatiques et entame par la suite une session à l’UQAM. Il ne termine pas son BAC et décide plutôt de prendre une pause d’étude afin de se consacrer exclusivement à sa production artistique.

Né à Saint-Hubert sur la rive-sud de Montréal, Alex a toujours été attiré par les arts. Dès son plus jeune âge, il utilise le dessin comme moyen d’expression principal et rapidement, la passion s’installe. Il commence à apprivoiser la peinture vers l’âge de 16 ans et prend de l’assurance en se pratiquant à repeindre les planches à roulettes de ses amis. Il complète ses études au cégep Édouard-Montpetit dans le programme Arts visuels et médiatiques et entame par la suite une session à l’UQAM. Il ne termine pas son BAC et décide plutôt de prendre une pause d’étude afin de se consacrer exclusivement à sa production artistique.

Alex travaille en deux étapes. En premier, la peinture est appliquée de manière complètement aléatoire et indirecte à l’aide de divers mécanisme, afin de se retirer le plus possible du procédé. L’idée est d’obtenir une composition organique et spontanée, empreinte d’aucune intention précise. Par la suite, il observe et construit l’image en fonction de ce qu’il voit apparaître. Les éléments qui apparaissent alors ne sont que des morceaux d’histoires libres d’interprétation qui servent de ligne narrative ambiguë qui se lisent et prennent vie à travers le subconscient de celui qui observe.

Alex travaille en deux étapes. En premier, la peinture est appliquée de manière complètement aléatoire et indirecte à l’aide de divers mécanisme, afin de se retirer le plus possible du procédé. L’idée est d’obtenir une composition organique et spontanée, empreinte d’aucune intention précise. Par la suite, il observe et construit l’image en fonction de ce qu’il voit apparaître. Les éléments qui apparaissent alors ne sont que des morceaux d’histoires libres d’interprétation qui servent de ligne narrative ambiguë qui se lisent et prennent vie à travers le subconscient de celui qui observe.