La peinture a toujours été une passion pour moi plutôt qu’une carrière. L’enthousiasme de commencer une nouvelle toile est comme un nouvel élan à la vie à chaque fois.
À mes débuts, j’ai gagné le premier prix du concours lancé par la galerie Alliance sur la rue Sherbrooke pour les artistes en hyper-réalisme. On était plus ou moins en 1985.
Par la suite, je suis devenue maman et la peinture a cessé d’être une priorité, mais je ne l’ai pas quitté pour autant. J’ai exécuté des trompe l’oeil pour les décors des designers québecois tels que Alex Farhoud et Robert Krieff.
Ensuite, je me suis retrouvée au Liban et c’est là que j’ai commencé à vraiment découvrir ce que la peinture voulait dire pour moi. C’était en 1995.
J’y travaillais tous les jours, des clients privés...
Mais l’instabilité du pays a aussi déstabilisé mes efforts et je me retrouve au Brésil, ou j’ai exécuté des trompe l’oeil entre autre pour la résidence du maire de Sao Paulo, M. Fernando Haddad.
De retour au pays, je continue… la peinture étant une présence qui ne me quitte pas.

La peinture a toujours été une passion pour moi plutôt qu’une carrière. L’enthousiasme de commencer une nouvelle toile est comme un nouvel élan à la vie à chaque fois.
À mes débuts, j’ai gagné le premier prix du concours lancé par la galerie Alliance sur la rue Sherbrooke pour les artistes en hyper-réalisme. On était plus ou moins en 1985.
Par la suite, je suis devenue maman et la peinture a cessé d’être une priorité, mais je ne l’ai pas quitté pour autant. J’ai exécuté des trompe l’oeil pour les décors des designers québecois tels que Alex Farhoud et Robert Krieff.
Ensuite, je me suis retrouvée au Liban et c’est là que j’ai commencé à vraiment découvrir ce que la peinture voulait dire pour moi. C’était en 1995.
J’y travaillais tous les jours, des clients privés...
Mais l’instabilité du pays a aussi déstabilisé mes efforts et je me retrouve au Brésil, ou j’ai exécuté des trompe l’oeil entre autre pour la résidence du maire de Sao Paulo, M. Fernando Haddad.
De retour au pays, je continue… la peinture étant une présence qui ne me quitte pas.

L’intention artistique??? Hum...
Les meilleurs mots que je trouve pour décrire mon intention quand je peints sont de garder une honnêteté dans le rendu, de rechercher une esthétique qui évoque une poésie sereine capable de faire oublier chez l’observateur, ne serait-ce que pour l’instance du premier regard sur la toile, l’horreur des temps que nous vivons. Je regarde ces toiles qui crient la douleur de notre temps et j’ai mal. Je recherche la paix. Je recherche le calme. Je ne veux pas imposer mon insécurité, ni mon opinion... de çà on en a tous à revendre, et sont tous valables. La peinture pour moi c’est comme une prière, et mon intention c’est de la transcender en couleurs et en lumière.

L’intention artistique??? Hum...
Les meilleurs mots que je trouve pour décrire mon intention quand je peints sont de garder une honnêteté dans le rendu, de rechercher une esthétique qui évoque une poésie sereine capable de faire oublier chez l’observateur, ne serait-ce que pour l’instance du premier regard sur la toile, l’horreur des temps que nous vivons. Je regarde ces toiles qui crient la douleur de notre temps et j’ai mal. Je recherche la paix. Je recherche le calme. Je ne veux pas imposer mon insécurité, ni mon opinion... de çà on en a tous à revendre, et sont tous valables. La peinture pour moi c’est comme une prière, et mon intention c’est de la transcender en couleurs et en lumière.