(English Follows) Dimensions | 11,5’’ x 21,6’’ | Impression numérique sur plexi miroir 1/8’’ | Tirage: 20 | Série photographique à douze performeurs, Chutes Ste-Marguerite, Québec, 2018
 ________________________________________________________________ Plastic.Humans | QUEER RENAISSANCE | Hypnotisé par les enveloppes plastiques de corps au naturel, le public témoigne de paysages magnifiés, alors que l’empreinte environnementale se noircit. Tandis que la nudité des performeurs invite à un état de vulnérabilité, la neutralité du corps et du genre, elle, renvoie à la nature queer et harmonique du paysage. Ces cellules plastiques deviennent des représentations vivantes de la distance entre l’environnement et notre perception colonisée de la beauté. Une dualité esthétique surgit ainsi d’une présence plastique à la fois contemplative et suffocante, d'une nature tantôt idyllique, tantôt hostile et de corps incarnés ou pleinement effacés. Les expérimentations performatives de Plastic.Humans mènent à une introspection collective, où la représentation humaine, à l’ère de l’Anthropocène, est à l’origine de la dévastation des écosystèmes marins, de l’inaccessibilité de l’eau et de l'apparition de continents de plastique. L’invasion du plastique dans nos océans et de l’humain occidental dans son environnement guident cette danse poétique, où la séparation entre impureté de la matière et pureté du corps illumine ce que nous avons de plus précieux: l'eau. ______________________________________________________ (English) Dimensions | 11,5’’ x 21,6’’ | Digital mirror plexi 1/8’’ Fine art photographic series with 12 performers Chutes Ste-Marguerite, Québec, 2018
 _____________________________________________________________________ Plastic.Humans | QUEER RENAISSANCE | Shedding away the taboos and embracing instead their individuality and vulnerability, twelve performers embark on a journey of self-reflection, liberation and freedom. In the new series Plastic.Humans, by Montreal photographer Alex Côté, bodies and plastic morph together to create a dance of ephemeral structures, while revealing a disturbing perspective on humans’ connection to plastic and nature.